Imran Khan, accusé de terrorisme après un meeting, est soutenu par ses partisans

En colère, ils protègent la maison de leur ancien Premier ministre.  Au Pakistan, des dizaines de partisans de Imran khan sont indignés et veulent empêcher la police de l’arrêter. L’ex chef du gouvernement pakistanais est accusé de terrorisme, depuis ce meeting samedi soir au cours duquel il a juré de poursuivre en justice des policiers et une femme juge et a affirmé qu’un de ses proches collaborateurs, arrêté, avait été torturé.

« C’est la réaction du public pour dire qu’aucune armée, aucune agence, aucune police, aucune force paramilitaire, ni personne, ne peut s’opposer au peuple, dit Lubna Raja, une sympathisante. Nous sommes la force de nos forces, nous sommes la force de ceux qui appliquent la loi aussi. Le gouvernement ne peut pas s’opposer à 220 millions de Pakistanais.« 

Imran Khan a été destitué de son poste en avril dernier, par une motion de censure. Ce lundi, la justice lui a accordé trois jours de liberté provisoire. Il risque des années de prison.

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